Quelques idées fausses

On dit que la gestion coopérative n’est applicable qu’aux petites copropriétés ?
FAUX ! Des moyennes et grandes copropriétés ont adopté – souvent depuis plusieurs dizaines d’années – le mode de gestion du Syndicat Coopératif. Certaines d’entre elles sont constituées de plusieurs centaines de logements.

 

On dit que la gestion coopérative demande beaucoup de temps aux copropriétaires bénévoles ?
FAUX ! Les tâches d’exécution peuvent être et sont souvent confiées en prestation de services à des spécialistes de la gestion (Union Coopérative, Société Coopérative H.L.M.) ou à des salariés. Les Conseils syndicaux se font aider par des techniciens (architecte, avocat, etc.). Par ailleurs, les bénévoles reçoivent conseils et assistance auprès de la F.S.C.C.

 

On dit qu’en acceptant des fonctions de gestionnaires, les copropriétaires prennent de grands risques ?
FAUX ! Les Syndicats Coopératifs et les Associations Syndicales Libres en adhérant à la F.S.C.C. bénéficient d’une Assurance groupe "RESPONSABILITÉ CIVILE" et complémentaire "ACCIDENTS" pour leurs gestionnaires bénévoles et leurs salariés. De telles assurances – qui existent depuis 1984 – n’ont enregistré que très peu de sinistres.

 

On dit enfin qu’il ne faut pas adopter le mode de gestion du syndicat coopératif lorsque le syndicat a de nombreux impayés et des contentieux ?
FAUX ! Ces impayés résultent souvent du laxisme du syndic dont on entend se séparer. L’expérience montre qu’avec l’aide de la F.S.C.C. et d’un avocat, un syndicat coopératif peut rapidement redresser la situation car, depuis 1994, il bénéficie du privilège spécial immobilier : lors de la vente d'un lot, il est payé en priorité devant les créanciers hypothécaires et le Trésor Public.

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